Le problème des machines à traire les vaches au Kenya

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Le Kenya est un pays essentiellement agricole, mais son élevage est développé. Machines à traire les vaches au Kenya est absolument nécessaire. Malheureusement, le système de traite des vaches pose de nombreux problèmes.

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Le faible taux de renouvellement du régime alimentaire entraîne une perte de nutrition

En général, l'efficacité de conversion des nutriments alimentaires des vaches est plus élevée que celle de la plupart des autres animaux d'élevage et de la volaille. Cependant, un grand nombre de nutriments sont encore excrétés dans l'urine. Par exemple, les vaches convertissent 25% à 35% de l'azote qu'elles consomment en azote du lait, et la majeure partie du reste est excrétée dans l'urine.

Les coûts augmentent et la pollution de l'environnement n'est pas optimiste

Outre l'azote, la pollution par le phosphore ne peut être ignorée. La production laitière de deux vaches au Kenya est équivalente à celle d'une vache aux États-Unis. Ainsi, pour une même production totale de lait, la vache kenyane provoque deux fois plus de fourrage et deux fois plus de pollution fécale.

Ces dernières années, la pollution par le fumier et l'urine des vaches laitières est devenue de plus en plus grave, polluant non seulement le sol et l'air, mais aussi les eaux souterraines. La situation n'est pas optimiste.

En théorie, bien que le fumier puisse être transformé en engrais, cela nécessite beaucoup de coûts financiers et de main-d'œuvre, et la difficulté technique est relativement importante. Par conséquent, la méthode fondamentale reste d'élever moins de bétail à haut rendement laitier. Ce faisant, vous pouvez réellement améliorer l'efficacité de la conversion des nutriments et réduire la quantité d'urine fécale et la concentration en nutriments des fèces.

Faible technologie agricole

Bien que de grands projets scientifiques et technologiques aient été lancés ces dernières années dans l'industrie laitière, le résultat n'est pas idéal. Au niveau de la production, les technologies individuelles ne sont pas suffisamment approfondies, et il manque encore l'équipement professionnel et la promotion de la démonstration. La nécessité de machines à traire pour les vaches au Kenya est en augmentation, mais il y a peu de fabricants.

La majorité des producteurs laitiers ne peuvent toujours pas apprendre les technologies avancées et applicables, et ils n'ont pas accès à des services techniques de haute qualité et bon marché. La science et la technologie limitées ne peuvent pas être traduites en productivité réelle. De plus, les variétés de fourrage de haute qualité sont encore rares, et la quantité et la qualité des aliments spécifiques aux vaches laitières ne sont pas suffisantes. Le régime alimentaire des vaches laitières est simple.

En ce qui me concerne, pour améliorer la production laitière, il est nécessaire que le gouvernement local fournisse un soutien financier et technologique. Par exemple, le gouvernement peut importer de manière centralisée suffisamment de machines à traire les vaches et les distribuer au Kenya.